21 janvier Melbourne Beach, La plage, la famille

Elle fait partie de la famille mais on ne sait toujours pas son nom...

 

Comme convenu, nous quittons donc Orlando pour nous rendre à Melbourne Beach. La tante Francine et l'oncle Bernard de Marc y habitent pour deux mois avec leur fille Anne.

Nous sommes à environ 1:30 de Melbourne et il est tout près de 9:00 lorsque nous quittons l'hôtel. Heureusement car nous pourrons profiter d'une merveilleuse journée à la plage en y arrivant tôt.

Petite commande pour la bouffe et nous arrivons. On rencontre la family, on s'installe tout à côté, on dîne puis direction plage.

Une rue nous sépare de la plage. C'est dire que nous y sommes en un clin d'oeil.
 

Il fait si beau. On s'installe. Tante Francine viendra nous joindre à la plage avec Anne. Lecture, jasette, trempette d'orteils.


On regarde les nombreux pêcheurs installés le long de la mer et on s'amuse à regarder un grand oiseau renverser un contenant de plastique afin de manger la maigre prise du pauvre pêcheur.

 

Même si je dois pas trop en abuser, je profite des rayons du soleil. Ça fait du bien.m

En après-midi je débute comme une migraine et des maux au ventre. Hélas, je ne serai pas partisan du 5 à 7 puisque je me suis allongé après une bonne douche et après avoir avalé deux Gaviscon. J'ai sauté le souper et suis resté au lit. Finalement j'ai dormi, dormi, dormi juste qu'au petit matin. Je laisse à Marc le soin de vous raconter sa soirée.

Marc:

J'ai eu la bonne idée de faire revenir et mettre au four nos six demi-poitrines de poulet avant de prendre ma douche et d'aller prendre l'apéro chez tante Francine, oncle Bernard et Anne. SIx en vous exclamant! Me direz-vous. L'idée étant d'en manger deux pour le souper, d'en mettre deux au frigo pour le lendemain et d'en congeler deux pour plus tard... j'appelle ça de la bonne gestion de nomade qui ne veut pas passer son temps dans la popote...

Je suis donc arrivé chez nos hôtes vers 17h45. Les cocktails en famille ce n'est pas tout à fait comme avec des amis. La discussion se déroule toujours avec des sujets plus intimes puisqu'on se connaît depuis toujours: Nos vies, la famille, notre futur, notre passé, la téléphonie avec ou sans internet...passer ou ne pas passer plusieurs mois loin du Québec... Un beau moment, vive la chaleur humaine. On oublie le temps qui passe et les 6 demi-poitrines qui se chauffent depuis plus de deux heures à côté de l'enfant repus de trop d'activités et épuisé qui dort sous les draps... dans un habitacle parfumé d'odeur de gingembre presque calciné!

Ne vous en faites pas pour les poitrines, elles sont excellentes! J'ai donc souper seul, lu un peu et pris le grand bateau du rêve vers 10h00. Une belle journée chaude, au bord de la plage, avec des gens qu'on aime!

(On aime aussi Jacques, mais ça prenait un photographe!)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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