Davie nous voici !

En tout cas, il fait pas froid!  

Nuit chaude avec quelques averses, on se réveille sous un brouillard matinal qui s’évapore rapidement.

Nos beautés nous ont tenu éveillés jusqu’à 22h45... elles sont fascinantes, merci à notre ami Jean-François de nous les avoir présentées!

Boisson de soya, toasts, café, marmelade... la journée démarre en douceur.  Le plaisir d’être.

Quatre-vingts milles nous séparent de notre prochaine destination, une courte randonnée.  Courte randonnée sur des autoroutes à six voies... que cette partie de la Floride est peuplée!  À toutes les fois on en est étonné.  Un arrêt au Publix, légumes et autre envies seront kidnappés et placés sous froide surveillance.

Bon on arrive au Koa.  Chers toujours trop chers les Koa... ils sont démodés... rafistolés... mais comme c’est tout ce qu’il y a dans cette partie floridienne, pas le choix ce sera Koa.  On nous offre un terrain grand comme ma main... mais avec wifi illimité pour deux appareils... pas trois... de toute façon le IPhone commence à rendre l’âme... la chaleur ne lui va pas bien du tout...  

Il fait chaud, on climatise, place la commande et se prépare un lunch léger.  L’après-midi se passera sous l’auvent, les pieds à l’horizontale, le livre à la main.  

Jacques ira se saucer dans la piscine vintage et reviendra rapidement se calmer le pompon sous l’auvent un livre à la main.

Quelques obèses volatiles de basse-cour viendront quêter...  

De temps à autres des effluves d’urine équine séchant au soleil viendront titiller les narines du cavalier... en prenant une marche, rapidement Marc découvre qu’il y a un cheval juste l’autre côté de la clôture... rien à faire l’équine  passion le poursuivra partout.

Faut dire que tout autour nous avons croisé plusieurs petits ranchs... Et-ce que Juliette et Rose apprécieraient devenir des snowbirds?...

Un coq a passé l’après-midi à chanter aux quatre vents, ça c’est l’été !

Ce soir hamburgers (façon Ricardetta - pain de viande) au menu avec salade.  On se la coule douce

Ma tendance vers la gauche est revenue, Claude, est-ce mieux?