Le froid frappe à la porte (jour 5)

 

Ce matin, on prend notre temps. Un peu de lecture, un bon café, on apprécie la tranquillité du lieu. Ça fait changement des truckers du Flying J.

 

Nous partons, roue sous le bras, à la recherche du bidule qui viendra à bout de notre dégonflé. Pour 1,00$ en papier le bidule à été acquis et le pneu reviendra au Canada rempli d'air georgien.

 

Ensuite, nous emprunterons la route pour Savannah, environ 30 minutes traffic inclus.

Nous stationnons notre véhicule au Tourism Center en plein centre de la vieille ville. Nous ferons le circuit à pied plutôt que de le faire en tour de ville dans un trolley. Bon choix de notre part. Nous découvrons des maisons avec des architectures d'inspiration méditerranéenne bordant de magnifiques squares.

De nombreux jardins et fontaines donnent le goût de se prélasser dans ce quartier qui semble huppé.

Le futur n'étant pas garant du passé, aujourd'hui on se les gèle...oublions le prélassement et hâtons le pas.

Parlant de température, un garde forestier est venu frapper à notre porte ce matin pour nous aviser de laisser couler l'eau des robinets toute la journée et la nuit car on annonce un gel nocture. Impression de déjà vu avec les abreuvoirs dans les pacages des chevaux.....Comme nous avons été prévoyant et avons écouté notre gourou du voyage en motorisé, une petite chaufferette électrique nous tiendra au chaud et nous évitera de vider notre réservoir de propane inutilement.

Après un lunch pris au District Cafe, nous nous sommes dirigés au Vieux Port. Un endroit super bien aménagé et pleins d'histoires reliées à l'importation des esclaves. ( Lire l'histoire de Kounta Kinté dans le livre Racines de Haley )

Nous avons terminé notre visite au Central Market.

De retour au camping, nous enfourchons....enfin....nos propres vélos pour une petite virée dans le parc et une visite au centre d'interprétation.

Il est déjà 17h00 l'heure du thé... on écrit le blog... préparation du souper, soupe riz et légumes et croque-monsieurs. En soirée, nous pourchasserons DEXTER.

À suivre...

 

 

 

 

 

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