Le mercredi 9 mars 2016 Grayton aux grands vents

Jacques s'est levé vers 6h30, Marc, un peu plus tard. Un peu de lecture, déjeuner... Rites matinaux...

Il fait beau, doux, mais très venteux. On peut remarquer, sur la photo que la boîte de soupe aux tomates Aylmer que Diane nous a prêtée hier au cas où on en aurait pas, est sur le frigo. C'est un aide-mémoire. Il faudra leur remettre car nous en avions une dans notre réserve. Les lectrices et lecteurs comprendront qu'il n'est pas dans nos habitudes de laisser traîner des "cannes" de soupe dans le Rialta. On se rend bien compte, que le matin, c'est la période de la journée la plus en désordre à l'intérieur de notre motorisé...

 

Jacques a continué sa chasse aux oiseaux pertubateurs de la grasse matinée... Aujourd'hui, un autre délinquant s'est joint à celui d'hier.

APPEL À TOUSSE

On arrive pas à trouver le nom de l'oiseau ci-dessous, (le malfaiteur d'hier matin). Si vous pouvez l'indentifier, on apprécierait. Vous pouvez le faire en composant le 1-450-258-0983 et laisser un message ou en laissant un commentaire sur le blogue, ou encore via courriel au amitipoux@hotmail.com. Bonne chance d'autant plus que la photo n'est pas très bonne... Veuillez noter qu'aucun prix ne saura décerner pour cause de taux de change trop élevé.

Accompagnés de Gilles et Diane, et vice-versa, nous sommes retournés au mignon café situé à 10 minutes en vélo pour internetter (internetter, nouveau verbe très utile aux véristes, se conjugue comme le verbe mettez , comme dans : mettez vos culottes sti !)

Via Internet, nous pouvons avoir un oeil bienfaisant sur les chevaux de notre écurie. Quelque fois, et bien malgré nous, nous TOMBONS, sur un ou une propriétaire qui vient carotter (nouveau verbe, très utile au propriétaire de chevaux se conjugue comme le verbe mettez, comme dans: mettez votre poing sur la table sti !).

Nous avons aussi Facetimer avec notre belle-sœur, nouvellement retraitée, et mon frère. Nous avions oublié la différence d'heure entre nous et eux, vivant au Québec. On s'en et vite rendu compte en voyant la belle-sœur dans ses plus grands apparats matinaux, sans fard, ni faux-cils !.... Oufff tout un choc.

Espérant que le retour à vélo au camping permettra à notre adrénaline de redescendre avant le dîner...

Ce midi, nous essayons la salade de chou Kale de Ricardetta. Très bonne même si nous avons substituer quelques ingrédients. N'oubliez pas, la recette à été publiée dans un blogue antérieure. Vous pouvez nous donner votre appréciation de cette recette en composant le 1-450-258-0983 et laisser un message ou en laissant un commentaire sur le blogue, ou encore via courriel au amitipoux@hotmail.com. Bonne chance. On vous suggère de ne pas substituer d'ingrédients... Veuillez noter qu'aucun prix ne saura décerner pour cause de taux de change trop élevé.

Après le dîner, Marc se met à la cire, comme d'autres se mettent à la drogue ou aux calmants. Le vent souffle toujours... Toujours. Jacques suggère d'essayer la plage... On ne sait jamais...

Attelés de chaises dans le dos, nous partons à vélo. Veuillez noter que Diane, la sage femme, a eu la très bonne idée de décliner cette invitation irréfléchie. La plage était impraticable... Vents, sables dans les yeux, on ne s'entendait même pas respirer !!! Le temps de dire Calisss et on était revenu... Faut dire qu'il a fallu pédaler vent dans la face avec une chaise faisant office de voile dans le dos durant quinze minutes avant d'attérir comme un oiseau à l'aile cassée dans une tempête de sable.

Remarquez le sourire Clin d'œil, malgré les difficultés rencontrées...

Retour au camping, Marc se remet à la cire comme d'autres se remettent à la bière où (l'accent veut pas partir...)à la prostitution. Jacques à la lecture. La lecture permet à Jacques de s'évader... Comme si sa tête partait.

Ensuite, ce fut la douche, (même pour Marc)... Le souper et 3 épisodes avec Franck.

 

Blogue la culinaire

Pâtes aux tomates, olives noires, parmesan, ail

Yogourt aux trois sans... (Gras, sucre, sel) et biscuits avec les sans

 

Réflexion Zen

Trop de vent n'amène pas le bateau plus loin